St Struggle

L'origine des espèces molles
par Charles Darlose

Selon les thèses de cet éminent chercheur mou, tout serait
parti d'un oreiller primordial, notre papy mou ancestral.
Le moteur principal de cette formidable explosion biomollogique
serait, selon toutes probabilités molles, la reproduction sexuée.



Ainsi, de générations en générations, au gré de croisements fabuleusement improductifs, les mutations chromousomiques auraient abouti à cette diversité d'espèces molles que nous connaissons aujourd'hui.



Une soporifique lutte pour le Mou ("Struggle for Mouw") aurait ainsi fait
émerger les espèces les plus apathiques que l'univers ait jamais connu.
Doit-on s'en réjouir? Mou seul le sait.



Tout ceci, bien sûr, reste à prendre au conditionnel, car les fervents partisans de la thèse créationniste contestent en mou cette théorie. Garfield reste pour eux le créateur omni-impotent de tout ce qui est mou ici-bas et rien ne semble pouvoir les faire dévier de leur foi molle.



Parti Mou, pour un monde mou

Comments

[Gary Atlass]

Je mes suis mollement reconnu dans la mosaïque en haut à droite. Je mou. Et vous?

[Abricot]

Mou oui, mais mou.

[chaulet]

j'aime bien la quequette de l'omme

[Gaotian]

Je pense que M. Globuleux fait erreur et surévalue largement le rôle de l'interprétation cosmougonnienne. Cette erreur est sans nul doute dû à l'amalgame fait entre cosmougonie et cosmollgolle ( le "cosmongolisme"). Je ne rentrerai pas dans les détails et je vous invite à ce propos, si vous le souhaitez, à lire mes publications que vous trouverez dans n'importe quelle bonne moudiothèque.
Par contre je souhaiterai réagir à propos du contempomouisme.
Oui la cosmogolle a eu et a encore une grande influence sur l'histoire de la pensée, poussée, pardonnez-moi,c'est indéniable, mais ne pensez-vous pas que cette influence se durcit avec la montée des avant gardes. Ne faut-il pas craindre avec le temps un durcissement de plus en plus sévère qui nous mènerait à une rupture, certes tranquille, mais tout de même, ruptureuse?

Le professeur Limébouquins

[syl]

Oh! La girafe, elle lui fait un bisou.